- Depuis janvier 2020 une épidémie de Coronavirus COVID–19 s’est propagée depuis la Chine vers l’ensemble de la planète.
Cette maladie semble bénigne dans 80 % des cas. Il est même possible de ne ressentir aucun symptôme, mais le coronavirus est dangereux pour quatre raisons :
- Il est très contagieux (chaque personne infectée va contaminer au moins 3 personnes en l’absence de mesures de protection).
- Il est contagieux avant d’être symptomatique, c’est-à-dire qu’une personne contaminée, mais qui ne ressent pas encore de symptômes, peut contaminer d’autres personnes,
- Environ 15 % des cas constatés ont des complications et 5 % ont besoin d’être hospitalisés en réanimation,
- Il augmente les risques de problèmes de santé à long terme (cardiovasculaire, respiratoire, dermatologique, neurologique, psychiatrique) même pour les cas asymptomatiques.
Ce virus touche toutes les classes d’âges, y compris les plus jeunes, chez qui on constate aussi des complications ou des formes graves (la moitié des patients hospitalisés en réanimation ont moins de 58 ans) mais il entraîne des décès surtout chez les personnes âgées et les plus fragiles (les + de 60 ans représentent environ 90 % des décès. les + de 70 ans représentent environ 80 % des décès, les + de 80 ans représentent environ 60 % des décès).
La campagne de vaccination qui a débuté en France en janvier 2021 produit des effets directement mesurables sur la propagation. Il est constaté que le vaccin, si il n’empêche pas de contracter la maladie, réduit de 10 à 20 fois le risque de développer une forme sévère et donc d’être hospitalisé, d’aller en réanimation et de décéder. c’est pourquoi la Fédération Française de Randonnée encourage vivement ses licenciés à se faire vacciner. Mais le vaccin n’apporte pas une protection absolue et ne doit pas remplacer les autres mesures de protections, d’autant que le virus évolue et les variants successifs sont de plus en plus contagieux.
Depuis janvier 2020 et tant que ce virus continuera à se propager, que nous soyons vaccinés ou pas, nous devons vivre avec le Covid-19 pour nous protéger et protéger les autres
Vous trouverez ci-dessous les mesures provisoires mises en place dans le cadre des activités organisées par l’ASCPA Randonnée ainsi qu’une synthèse des informations et recommandations relatives à cette épidémie, qui sont à l’origine de ces mesures.
Dernière mise à jour le 04/11/2022
Depuis le 30/06/2021 la pratique sur l’espace public est possible en tout lieu, sans restriction de durée ni d’horaire.
Au départ des activités, afin de faciliter le traçage des contacts Covid, les animateurs noteront l’identité des participants à chaque randonnée. Si vous avez participé à une activité et que vous êtes testé positif à la Covid dans la semaine qui suit, veuillez en informer le club (admin@ascparando.com) afin d’informer les autres participants et les inviter à appliquer les recommandations en vigueur (dépistage, surveillance symptômes, protection des personnes fragiles en limitant les contacts…).
Depuis le 2 février 2022, le port du masque en extérieur n’est plus obligatoire sauf si les distanciations sociales ne peuvent être observées. En conséquences, tous les participants devront s’attacher à respecter strictement les recommandations de distance (2 m entre participants) et les gestes barrière. S’il s’avérait que ces recommandations n’étaient pas respectées, les activités pourraient être suspendues partiellement, ou totalement.
Pour participer aux activités vous devrez avoir en permanence avec vous le kit sanitaire “Covid” défini par la FFRando à savoir, un masque, du gel hydroalcoolique, des lingettes désinfectantes pour les surfaces et matériels, un petit morceau de savon, un sac poubelle.
Des prêts de matériels sont nécessaires dans certains cas spécifiques (initiation marche nordique, sécurité sorties montages…). Chaque prêt donne lieu à une désinfection systématique avec un produit désinfectant virucide norme EN
14476.
Les séjours découverte, sont maintenus dans le respect des règles gouvernementales en vigueur notamment l’obligation du “Pass sanitaire” en fonction des dates annoncées et selon les destinations et activités proposées au cours du séjours. Pour la sécurité de tous chaque participant est invité à réduire ces contacts dans la semaine précédant le départ.
Les personnes les plus à risque de développer des complications (voir rubrique ci-dessous) sont invitées, dans leur intérêt, à ne pas randonner en groupe tant qu’elles n’ont pas un parcours vaccinal complet.
Le fait d’être vacciné ou d’avoir contracté le virus à un moment donné ne dispense pas du respect de l’ensemble des mesures décrites dans le présent protocole sanitaire.
En rejoignant un lieu de RDV dans l’objectif de participer à une randonnée, vous acceptez l’ensemble des mesures provisoires décrites et vous engagez à les respecter.
Ces mesures sont amenées à évoluer en fonction de l’évolution de l’épidémie, de la diffusion de nouvelles recommandations gouvernementales ou de la fédération française de randonnée pédestre.
Le délai d’incubation est la période entre la contamination et l’apparition des premiers symptômes. Le délai d’incubation du coronavirus COVID-19 est de 3 à 5 jours en général, il peut toutefois s’étendre jusqu’à 14 jours. Pendant cette période, le sujet peut être contagieux : il peut être porteur du virus avant l’apparition des symptômes ou à l’apparition de signaux faibles.
La maladie se transmet par les gouttelettes (sécrétions invisibles, projetées lors d’une discussion, d’éternuements ou de la toux). On considère qu’un contact étroit avec une personne malade est nécessaire pour transmettre la maladie : même lieu de vie, contact direct à moins d’un mètre lors d’une discussion, d’une toux, d’un éternuement ou en l’absence de mesures de protection. Un des autres vecteurs privilégiés de la transmission du virus est le contact des mains non lavées ou de surfaces souillées par des gouttelettes. C’est donc pourquoi les gestes barrières et les mesures de distanciation sociale sont indispensables pour se protéger de la maladie.
Pour tenir la maladie à distance, restez à plus d’un mètre de distance les uns des autres.
En complément de ces mesures il est possible de diminuer les risques de transmission par le port d’un masque « grand public ». Pour que cette mesure complémentaire soit pleinement efficace il faut qu’elle soit adoptée par tout le monde car en portant un masque on se protège et on protège les autres.
Attention, le masque ne remplace pas les gestes barrières. Il ajoute une barrière physique lorsque vous êtes en contact avec d’autres personnes.
Mais pour être efficace, le masque doit être bien utilisé et entretenu.
Enfin les personnes plus à risque de développer des complications sont invitées, dans leur intérêt à limiter leurs contacts et leurs sorties. Les personnes qui rendront visite à ces personnes devront respecter les précautions nécessaires à la préservation de leur santé fragile.
Sont considérées comme personnes à risque de formes sévères par le Haut Conseil de Santé Publique :
- Les personnes âgées de 70 ans et plus ;
- Les patients aux antécédents cardiovasculaires : hypertension artérielle compliquée, antécédents d’accident vasculaire cérébral ou de coronaropathie, chirurgie cardiaque, insuffisance cardiaque stade NYHA III ou IV ;
- Les diabétiques insulinodépendants non équilibrés ou présentant des complications secondaires à leur pathologie ;
- Les personnes présentant une pathologie chronique respiratoire susceptible de décompenser lors d’une infection virale ;
- Les patients présentant une insuffisance rénale chronique dialysée ;
- Les malades atteints de cancer sous traitement;
- Les personnes avec une immunodépression congénitale ou acquise : médicamenteuse (chimiothérapie anti-cancéreuse, immunosuppresseur, biothérapie et/ou une corticothérapie à dose immunosuppressive), infection à VIH non contrôlée ou avec des CD4 <200/mm3, consécutive à une greffe d’organe solide ou de cellules souches hématopoïétiques, liée à une hémopathie maligne en cours de traitement ;
- Les malades atteints de cirrhose au stade B ou C de la classification de Child-Pugh ;
- Les personnes présentant une obésité morbide (indice de masse corporelle > 40 kg/m2);
- Les femmes enceintes à partir du troisième trimestre de la grossesse.